Il est une joie qui n’est point donnée aux impies,
mais à ceux qui te servent gracieusement ;
leur joie, c’est toi-même.
Et la vie heureuse, la voilà,
éprouver de la joie pour toi, de toi, à cause de toi.(Confessions X, 22, 32)
Au sommaire
Editorial : La joie indestructible, par Marcel Neusch
- I. Augustin en son temps
La vraie joie, c’est Dieu lui-même, par Philippe Berrached
« Une fête continuelle », commentaire d’Augustin
- II. Augustin maître spirituel
La joie, ses implications pastorales, par Nicolas Potteau
Alleluia, le chant du voyageur, par Marcel Neusch
- III. Augustin dans l’histoire
Le dégagement joyeux, par Cécile Renouard
Les travaux des Assomptionnistes sur Augustin, par Jean-Paul Périer-Muzet
- IV. Augustin aujourd’hui
Le chemin de l’intériorité pour sortir de la dispersion, par Marie-Geneviève Poulain
La paroisse Cana de Villeneuve d’Ascq, par Élisabeth Bracaval
Converti par un converti, par Eynard Ueda